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9 résultat(s) recherche sur le mot-clé 'écophysiologie' 
trié(s) par (Pertinence décroissant(e), Titre croissant(e)) Affiner la recherche Générer le flux rss de la rechercheLes sentinelles du climat : proposition d’indicateurs biologiques et préfiguration des protocoles de suivis en Normandie / Mickaël Barrioz (2022)
Titre : Les sentinelles du climat : proposition d’indicateurs biologiques et préfiguration des protocoles de suivis en Normandie Type de document : Livre Auteurs : Mickaël Barrioz, Directeur de publication, rédacteur en chef ; Julien Buchet, Auteur ; Olivier Cantat, Auteur ; C. Carpentier, Auteur ; Loïc Chéreau, Auteur ; Carine Douville, Auteur ; Sébastien Etienne, Auteur ; Frédéric Gresselin, Auteur ; J. Lebrun, Auteur ; A. Simon, Auteur ; I. Thomas, Auteur ; Nicolas Valy, Auteur ; Juliette Waymel, Auteur ; Catherine Zambettakis, Auteur ; Fanny Mallard, Auteur Editeur : Caen : URCPIE de Normandie Année de publication : 2022 Importance : 31 p. Langues : Français Catégories : [Thèmes] Biodiversité Mots-clés : biologie de la conservation changement climatique chorologie écophysiologie espèce parapluie faune ectotherme flore indicateur biologique modélisation répartition phénologie protocole d’échantillonnage Résumé : "Le programme de recherche-action « les sentinelles du climat » vise à mieux connaitre les effets locaux du changement climatique sur la biodiversité, qu’ils concernent la phénologie, l’écophysiologie ou la répartition des espèces. La finalité est de contribuer aux politiques environnementales. Cette démarche a été élaborée en 2016 par l’association Cistude Nature, en collaboration avec ses partenaires de Nouvelle-Aquitaine et un conseil scientifique interrégional.En 2021-2022, à l’initiative de l’Union Régionale des Centres Permanents d’Initiatives pour l’Environnement de Normandie, un collectif de scientifiques composé de naturalistes, géographes, climatologues, hydrologues, biostatisticiens..., a réfléchi à une déclinaison normande. Une première liste d’espèces sentinelles du climat a été élaborée. Il s’agit de taxons appartenant à la flore et à la faune ectotherme. Ces indicateurs biologiques sont climato-sensibles, en régression et possèdent des capacités de dispersion assez faible. Les bases de données naturalistes existantes pourront être consultées et croisées aux variables climatiques afin d’identifier une probabilité de répartition potentielle de référence au présent et dans le futur de ces espèces. En complément de cette approche macroclimatique, des suivis protocolés seront réalisés au niveau mésoclimatique. Un échantillonnage régional de sites est en cours d’élaboration à partir de cette liste d’espèces. Un dernier niveau d’analyse est possible selon les questionnements scientifiques à l’échelle microclimatique, à l’aide de sondes disposées de manière à reproduire le choix préférentiel des individus pour certains microhabitats afin de mieux comprendre l’effet du milieu sur la température corporelle d'espèces ectothermes. Le cadre méthodologique devra permettre de suivre des cortèges d’espèces, dont des espèces potentiellement en expansion, plutôt que des espèces seules. En outre, les espèces sentinelles du climat sélectionnées pourront jouer le rôle « d’espèces parapluies », en favorisant aussi la préservation d’écosystèmes résilients." (source : auteurs) Type de publication : rapport d'études Référence biblio : Barrioz M. (coord.), Buchet J., Cantat O., Carpentier C., Chéreau L., Douville C., Etienne S., Gresselin F., Lebrun J., Simon A., Thomas I., Valy N., Waymel J., Zambettakis C., Mallard F., 2022 - Les sentinelles du climat : proposition d’indicateurs biologiques et préfiguration des protocoles de suivis en Normandie. Caen : URCPIE de Normandie, 31 p. ID PMB : 70599 Permalink : http://www.cbnbrest.fr/catalogue_en_ligne/index.php?lvl=notice_display&id=70599 Exemplaires
Cote Localisation Disponibilité aucun exemplaire Biological Flora of the British Isles : Crambe maritima / Anushree Sanyal in Journal of Ecology, vol. 103, n°3 (Année 2015)
Titre : Biological Flora of the British Isles : Crambe maritima Type de document : périodique Auteurs : Anushree Sanyal, Auteur ; Guillaume Decocq, Auteur Année de publication : 2015 Article en page(s) : pp. 769-788 Langues : Anglais Catégories : [Espèces (in biblio)] Crambe maritima
[ZG] Royaume-Uni et Irlande
[Thèmes] ConservationMots-clés : aire de répartition habitat communauté écologie germination écophysiologie Résumé : "Summary 1. This account presents information on all aspects of the biology of Crambe maritima L. (Sea-kale; Crambe pontica Stev. ex Rupr) that are relevant to understand its ecological characteristics and behaviour. The main topics are presented within the standard framework of the Biological Flora of the British Isles: distribution, habitat, communities, responses to biotic factors, responses to environment, structure and physiology, phenology, floral and seed characters, herbivores and disease, history and conservation. 2. Crambe maritima is found predominantly on southern and western coasts of Britain but also in Scotland, Ireland and elsewhere. It occurs primarily on neutral or slightly alkaline soils on shingle and sand beaches above the drift line, out of reach of average high tides. Equinoctial tides or storms can increase soil salinity, requiring it to be salt tolerant. 3. Crambe maritima is a rosette plant with a fleshy taproot, which is the main perennating organ with a capacity for vegetative propagation. Flowering can take 5–8 years when grown from seeds. Reproduction is predominantly by seeds. Root and stem cuttings can be used for vegetative propagation. In winter, each branch ends at ground level in a leafless crimson bud, and in spring, it produces a succession of cabbage-like leaves just above ground level, the first being purple and successive leaves becoming greener. 4. Crambe maritima produces weakly protogynous hermaphrodite flowers. Self- and cross-pollination occurs. Pollination is by insects, flies and bees. The plants usually produce 1000–10 000 seeds per year. 5. In Britain, Crambe maritima has been reported to have declined in certain areas but increased in other areas and currently does not have rare or scarce status. There has been an expansion in range in Ireland since the 1960s as it has been recorded at new sites, and while the species has disappeared from some sites in France, it has also been identified in several new sites." (source : auteurs) Type de publication : périodique Référence biblio : Sanyal A., Decocq G., 2015 - Biological Flora of the British Isles : Crambe maritima. Journal of Ecology, 103 (3) : 769-788. ID PMB : 70192 DOI : 10.1111/1365-2745.12389 Permalink : http://www.cbnbrest.fr/catalogue_en_ligne/index.php?lvl=notice_display&id=70192
in Journal of Ecology > vol. 103, n°3 (Année 2015) . - pp. 769-788[article]Exemplaires
Cote Localisation Disponibilité aucun exemplaire
Titre : Les espèces végétales rares ont-elles des caractéristiques écologiques et biologiques qui leur sont propres ? : applications à la conservation de la flore en Languedoc-Roussillon Type de document : Livre Auteurs : Sébastien Lavergne, Auteur ; Max Debussche, Directeur de thèse ; Ecole nationale supérieure agronomique (Montpellier, France), Organisme de soutenance Année de publication : 2003 Importance : 83 p. + annexes Note générale : Thèse présentée à l'ENSAM pour obtenir le grade de Docteur en Biologie Intégrative : Biologie de l'Évolution et Écologie, spécialité Biologie des Populations et Écologie, soutenue publiquement le 7 mai 2003 devant le jury.
Numéro national de thèse : 2003NSAM0011Catégories : [ZG] LANGUEDOC-ROUSSILLON (91)
[Thèmes] Bassin méditerranéenMots-clés : biologie de la conservation rareté endémisme méthodologie écologie écophysiologie reproduction dispersion Résumé : "L'objectif général de cette thèse est de déterminer quelles caractéristiques écologiques et biologiques sont les plus récurrentes chez les espèces végétales rares en Région Méditerranéenne, puis d'utiliser ces résultats pour décrire des mécanismes généraux créant et maintenant des différences interspécifiques d'abondance ou de distribution. Une synthèse méthodologique est d'abord proposée, reprenant les définitions et les mesures de rareté employées en écologie, les biais inhérents à la mesure de la rareté, ainsi que la méthodologie requise pour mettre en évidence des «syndromes» de rareté. Une démarche en trois étapes a été ensuite utilisée pour réaliser l'objectif de la thèse. L'influence des facteurs historiques, écologiques, et biologiques sur les changements d'abondance et de distribution des espèces rares, ont été analysés sur le département de l'Hérault, de 1886 à 2001. L'utilisation d'un SIG et de modèles spatialisés ont montré la tendance des espèces rares à se trouver dans des habitats d'altitude, dans des zones d'agriculture extensive, composées de prairies permanentes et de landes peu productives. Entre 1886 et 2001, la majorité des régressions et des extinctions locales d'espèces rares ont eu lieu dans les zones où la pression anthropique s'est fortement intensifiée depuis la fin du XIXt0mc siècle. Les groupes d'espèces rares ayant subi des régressions et extinctions drastiques ont pu être caractérisés: ces espèces sont principalement des Brassicaceae, Poaceae, Orobanchaceae, Gentianaceae et Papaveraceae, des espèces hydrophytes et des chaméphytes. Ces espèces en régression 'sont aussi majoritairement des espèces de large distribution Eurosibérienne, trouvant généralement leur limite Sud d'aire de distribution dans la région Méditerranéenne. Entre 1886 et 2001, les espèces endémiques restreintes présentes dans la zone d'étude ont, au contraire, montré de très fortes probabilités de persistance à l'échelle locale. Une analyse utilisant 20 contrastes phylogénétiquement indépendants entre espèces congénériques endémiques et largement répandues a été ensuite utilisée. Les espèces endémiques montrent une différenciation récurrente pour des habitats rocheux, pentus, à végétation basse et ouverte, et ont des statures significativement plus basses que leurs congénères largement répandues. Elles présentent aussi des fleurs plus petites, avec un plus faible ratio pollen / ovule et des productions individuelles de graines plus faibles. Les espèces endémiques occupent donc principalement des habitats contraignants, mais où la compétition pour la lumière est faible, ont des stratégies de reproduction plus autogames, et possèdent un plus faible pouvoir colonisateur. La mesure de traits écophysiologiques n'a montré aucune différence générale de capacités d'acquisition de ressources entre espèces endémiques et répandues. Les espèces endémiques ne présentent donc pas de svndrome de résistance au stress, comme cela a été proposé dans la littérature. Pour comprendre l'importance relative des interactions avec les insectes prédateurs et pollinisateurs dans la limitation de la fertilité femelle des espèces endémiques, une des 20 paires d'espèces a été étudiée expérimentalement pendant 2 ans : Aquilegia lviscosa Gouan, espèce endémique, et A. vulgaris L., largement répandue. Des expériences d'exclusion de prédateurs ont montré que la fertilité femelle des plantes est limitée de manière beaucoup plus forte chez A. viscosa. Son succès reproducteur semble aussi être limité par de faibles taux de visites de pollinisateurs, mais des pollinisations contrôlées ont montré que les deux espèces possédaient la même capacité à produire des graines en l'absence de pollinisateurs. Une analyse par contrastes phylogénétiquement indépendants basée sur 18 espèces de Ranunculaceae a montré une relation positive entre taille d'aire de distribution, ratio pollen/ovule et ratio graine/ovule en conditions naturelles, mais pas de relation avec le ratio graine/ovule en l'absence de pollinisateurs. Ceci suggère que le potentiel de colonisation à long terme de ces espèces, pérennes pour la plupart, peut être lié à l'allogamie et au succès reproducteur, mais pas à la capacité à produire des graines en l'absence de pollinisateurs. L'utilité de ces résultats pour la conservation a été discutée en conclusion, et notamment, leur intérêt pour mieux décrire les espèces en régression sur le pourtour méditerranéen, et, pour comprendre le fonctionnement biologique des espèces endémiques. Ce travail avait aussi pour but de proposer une méthodologie générale pour étudier les espèces végétales rares dans l'urgence des enjeux actuels de conservation, et ce, en mettant d'abord en évidence des syndromes généraux, puis en étudiant plus précisément des espèces représentatives de ces syndromes." (source : auteurs) Type de publication : thèse, mémoire, stage Référence biblio : Lavergne S., 2003 - Les espèces végétales rares ont-elles des caractéristiques écologiques et biologiques qui leur sont propres ? : applications à la conservation de la flore en Languedoc-Roussillon. Thèse : Biologie de l'évolution et écologie (Biologie des populations et écologie). Montpellier : Ecole nationale supérieure agronomique, 83 p. + annexes. ID PMB : 3142 Permalink : http://www.cbnbrest.fr/catalogue_en_ligne/index.php?lvl=notice_display&id=3142 Exemplaires
Cote Localisation Disponibilité R44000898 Brest Exclu du prêt
Titre : Monographs of Invasive Plants in Europe n°3 : Carpobrotus Type de document : périodique Auteurs : Josefina G. Campoy ; Alicia T.R. Acosta ; Laurence Affre ; Rodolfo Barreiro ; Giuseppe Brundu ; Elise Buisson ; Luis Gonzales ; Margarita Lema ; Ana Novoa ; Ruben Retuerto ; Sergio R. Roiloa ; J. Fagúndez Année de publication : 2018 Article en page(s) : pp. 440-475 Langues : Anglais Catégories : [Espèces (in biblio)] Carpobrotus acinaciformis
[Espèces (in biblio)] Carpobrotus edulisMots-clés : espèce végétale exotique envahissante interaction biotique contrainte écologique écophysiologie impact environnemental potentialité d'hybridation méthode de lutte stratégie de reproduction aire de répartition Résumé : "This report synthesizes all aspects of the taxonomy, distribution, history of introduction and spread, ecological constrains (including preferred climate, substratum and habitats), responses to biotic and abiotic factors, biology (including phenology, vegetative and reproductive biology), economic importance and human uses, ecological impacts, legislation and management of Carpobrotus N.E.Br. (Aizoaceae), a prominent invasive plant in Europe.
Carpobrotus species are mat-forming trailing succulent perennial herbs native from South Africa, introduced in Europe for ornamental and soil stabilization purposes since the beginning of the seventeenth century, now widely naturalized on coastal habitats of southern and western Europe. C. acinaciformis and C. edulis are the main species recognized outside South Africa, together with their hybrids and potential hybrid swarms. Identification conflicts both in the native and invaded areas raise doubts on the taxonomy of these taxa, but hybridization processes may boost adaptive changes in the invaded range.
The release of Carpobrotus in natural environments and protected areas is prohibited in several European countries, but this taxon is not included in the list of invasive species of Union concern. Carpobrotus is a pioneer of disturbed sites and coastal areas including cliffs and sand dune systems, due to its tolerance to stress factors such as salinity, drought and excess of light. Carpobrotus invasion ultimately affects patterns of native species diversity. Moreover, it has been recognized as a major driver of soil conditions shifts and soil geochemical processes disruptions, representing a serious threat for coastal habitats.
Management plans for Carpobrotus must consider its high plasticity for morphological and ecophysiological traits, which may probably explain its tolerance to a wide range of ecological conditions. Its flexible mating systems, which represent an optimal strategy to facilitate local adaptation and habitat colonization, include ability to produce apomictic seeds, self- and cross-pollination, and an intense vegetative clonality. In addition, Carpobrotus produces a large seed bank with a moderate short-term persistence, and fruits are effectively dispersed by mammals. The most efficient control methods are physical removal and herbicide application on leaves, whereas integration of biological control with other conventional management methods are likely to be most effective. A long-term monitoring of control actions and restoration of soil conditions are needed to prevent recovering from clonal parts, seed bank or mammal faeces as well as potential new invasions by other opportunistic species." (source : auteurs)Type de publication : périodique Référence biblio : Campoy J., Acosta A.-R., Affre L., Barreiro R., Brundu G., Buisson E., Gonzales L., Lema M., Novoa A., Retuerto R., Roiloa S., Fagúndez J., 2018 - Monographs of Invasive Plants in Europe n°3 : Carpobrotus. Botany letters, 165 : 440-475. ID PMB : 68146 Permalink : http://www.cbnbrest.fr/catalogue_en_ligne/index.php?lvl=notice_display&id=68146
in Botany letters > vol. 165, n°3-4 (Année 2018) . - pp. 440-475[article]Exemplaires
Cote Localisation Disponibilité aucun exemplaire
Titre : Monographs on Invasive Plants in Europe n°1 : Baccharis halimifolia L. Type de document : périodique Auteurs : Guillaume Fried, Auteur ; Lidia Cano, Auteur ; Sarah Brunel, Auteur ; Estela Beteta, Auteur ; Anne Charpentier, Auteur ; Mercedes Herrera, Auteur ; Uwe Starfinger, Auteur ; Dane Panetta, Auteur Année de publication : 2016 Article en page(s) : pp. 127-153 Langues : Anglais Catégories : [Espèces (in biblio)] Baccharis halimifolia L.
[ZG] EuropeMots-clés : plante invasive biogéographie écophysiologie impact environnemental mesure de gestion biologie de la reproduction aire de répartition Résumé : "This account presents information on all aspects of the biology and ecology of Baccharis halimifolia L. that are relevant to understanding its invasive behaviour. The main topics are presented within the framework of the new series of Botany Letters on Monographs on invasive plants in Europe: taxonomy, distribution, history of introduction and spread, ecology (including preferred climate and habitats, responses to abiotic and biotic factors, ecological interactions), biology (including physiology, phenology and reproductive biology), impacts and management. Baccharis halimifolia L. (Asteraceae), groundsel bush, is a broad-leaved shrub native to the coastal area of southeastern North America. Introduced for ornamental and amenity purposes during the nineteenth century, it has become naturalized in several coastal habitats, as well as in disturbed areas of western Europe. The shrub is now common on the Atlantic coast of Europe from northern Spain to Belgium and it is an emerging problem on the Mediterranean coast. Baccharis halimifolia is a light-demanding pioneer species that colonizes following disturbance but can then become dominant in natural habitats. The shrub can grow on a large range of soil types but prefers moist soils with high organic content and it is well adapted to poorly drained saline soils. In contrast to its native range, where it is in competition with other coastal shrubs, populations in the secondary range have almost no native analogues across most of its ecological niche except for Tamarix gallica in Mediterranean areas. Baccharis halimifolia reproduces sexually, but it has a high resprouting ability following mechanical damage or fire. Very high seed production, coupled with dispersal by wind and water, ensure a good colonization capacity of suitable habitats. The species shows a relatively high plasticity for both morphological and ecophysiological traits, which is probably the basis for its tolerance to a wide range of ecological conditions, including salinity and light availability. Baccharis halimifolia is host to a limited number of insects, both in the native and introduced ranges, but a number of highly specific agents have contributed to the control of this plant following its introduction to Australia. In Europe, B. halimifolia is considered an invasive non-indigenous plant and the shrub is the object of control programmes. Negative impacts include the addition of a new canopy layer in formerly open habitats (e.g. Juncus maritimus communities), which causes a strong decrease in species richness and herbaceous cover and poses a threat to some birds by modifying habitat quality, mainly in priority habitats and in many natural protected sites. Most efficient control methods are mechanical removal and herbicide application either on leaves or stumps. Due to the high cost of mechanical removal and the unintended effects of herbicide application on other species, alternative management methods such as controlled inundations and biological control could also be considered. The plant is legally prohibited in several countries and it is prelisted on EU Regulation 1143/2014." (source : auteurs) Type de publication : périodique Référence biblio : Fried G., Cano L., Brunel S., Beteta E., Charpentier A., Herrera M., Starfinger U., Panetta D., 2016 - Monographs on Invasive Plants in Europe n°1 : Baccharis halimifolia L. Botany letters, 163 (2) : 127-153. ID PMB : 63612 Permalink : http://www.cbnbrest.fr/catalogue_en_ligne/index.php?lvl=notice_display&id=63612
in Botany letters > vol. 163, n°2 (Année 2016) . - pp. 127-153[article]Exemplaires
Cote Localisation Disponibilité P0177-6 Brest Exclu du prêt
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